Mouctar Khalissa de l’UFR avertit le Général Mamadi Doumbouya « s’il ne respecte pas sa parole, il verra le peuple devant lui »

26 - 10 - 2024 0

Mouctar Khalissa ; le secrétaire national de la jeunesse du Conseil des jeunes de l’UFR a lors de l’assemblée hebdomadaire du Parti ce mardi 26 octobre 2024 appelé à la mobilisation a averti le Général Mamadi Doubouya que « s’il ne respecte pas sa parole, il verra le peuple devant lui » a rapporté un confrère.


Selon lui, Mouctar Khalissa a affirmé que deux mois seulement nous séparent de la fin de la transition en Guinée et rien n’est fait pour la tenue des élections et surtout que beaucoup de ses proches annonce une éventuelle candidature de l’homme du 05 septembre 2021.


Il déclare devant l’assemblée « Jusqu’à date, nous, membres de l’UFR et la jeunesse républicaine, nous sommes convaincus que le général respectera son engagement. Parce que le vrai homme, c’est celui-là qui respecte son engagement. Et il faut qu’on apprenne aux guinéens à respecter leur engagement. Donc la seule chose qui nous surprendra ici, c’est quand il dira autre chose après le 31 décembre 2024. Et c’est là que vous verrez cette jeunesse républicaine motivée pour le retour à l’ordre constitutionnel et rien ne pourra nous arrêter. Mais jusqu’à preuve du contraire, le général n’a jamais dit qu’il sera candidat. Ce sont les gens qui le disent. Nous l’attendons. S’il ne respecte pas sa parole, il verra le peuple devant lui », a-t-il martélé


« Nous avons vu ici le cas Dadis. C’est un exemple illustratif. Ces mouvements de soutien-là visent à le pousser dans le ravin. Et nous, nous ne le souhaitons pas. Nous lui demandons de respecter son engagement pour qu’un président démocratiquement élu vienne continuer à gérer le pays et nous sortir de la pauvreté » a-t-il ajouté


Mariame Dalanda Bah




COMMENTAIRES

jeudi 21 novembre 07:47:46

 
 

Montius nos tumore inusitato quodam et novo ut rebellis et maiestati recalcitrantes Augustae per haec quae strepit incusat iratus nimirum quod contumacem praefectum, quid rerum ordo postulat ignorare dissimulantem formidine tenus iusserim custodiri.

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