Il s’agit de Joâo Lourenço de l’Angola, Félix Tshisekedi de la République Démocratique du Congo et Faustin Archange Touadera de la République centrafricaine, Paul Kagamé du Rwanda et l’ordinaire des lieux, Dénis Sassou Ngeusso. Un aréopage de personnalités complété par Moussa Faki, le président de la Commission de l’Union africaine (UA).
Sous le thème « Tirer parti des partenaires pour promouvoir la diversification économique et la création d’emplois dans les économies africaines » ce Forum est conjointement organisé par le gouvernement congolais, le ministère des chinois des finances, la Banque chinoise de développement et le Groupe de la Banque mondiale.
A en croire les organisateurs, ce rendez-vous entre l’Afrique et la Chine a pour objectif de promouvoir la diversification des économies africaines, la création d’emplois, dans un contexte socioéconomique difficile où près de 70% des Africains notamment dans la zone subsaharienne vivent en dessous du seuil de la pauvreté selon un rapport de la Banque mondiale.
A travers des joint-ventures, des rencontres B to B et d’autres mécanismes d’échanges à l’ordre du jour, il est question pour les participants d’examiner des mécanismes pour mieux soutenir le processus de diversification économique en Afrique.
En tout état de cause, au-delà de magnifier « une plateforme mondiale de coopération multilatérale pour stimuler les investissements et le développement durable en Afrique », les Africains, s’attendent que ces annoncent fortes se répercutent sur le vécu quotidien des populations en vue d’améliorer leurs conditions d’existence.
Le forum de Brazzaville intervient après ceux tenus à Addis-Abeba en Éthiopie en 2015, à Greangdong en Chine en 2016, à Dakar au Sénégal en 2017 et à Changsha en Chine en 2018.
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